天才的な才能を持つ早逝のメダイユ彫刻家、ジョルジュ・デュプレ (Georges Dupré, 1869 - 1909) が1899年に制作した美しいメダイユ。「ミネルヴァ像の下で懇願するオレステース」によって 1896年のローマ賞一等を獲得したジョルジュ・デュプレは、ヴィッラ・メディチ滞在中に、本品と「サリュ・オ・ソレイユ」を制作しました。若きデュプレによる二点はパリに送られて絶賛され、1899年のサロン展において、いずれも三位に入賞しました。本品は1899年のパリ・サロン展で絶賛され、三位を獲得した二点のうちの一点、「メディタシオン」("Méditation") です。
一方の面には、古代の衣装をまとい、薄絹のヴェールを被った若い女性が浮き彫りで表されています。端正な横顔を見せる女性は、巻紙を手にして、カピトーリウムの丘に建つパラッツォ・セナトリオの窓から眼下のフォルム・ローマーヌムを眺め、物思いに耽っています。女性の手元には永遠を象徴する常緑の蔦(ツタ)が描かれています。女性の肩の後ろあたりに彫刻家のサイン
(G. DUPRÉ) が刻まれています。ヴィッラ・メディチに三年間滞在したジョルジュ・デュプレにとって、フォルム・ローマーヌム (FORUM
ROMANUM) はなじみ深い場所となったことでしょう。遠景の手前左から右にセプティミウス・セウェルスの凱旋門 (ARCUS SEPTIMII
SEVERI)、フォカスの記念柱 (COLUMNA PHOCAE)、ウェスパシアヌス神殿 (TEMPLUM DIVI VESPASIANI)、さらに遠方にディオスクーリ神殿
(AEDES CASTORIS) をはじめとする建造物群とローマの丘が見えています。
本品は浮き彫りによるメダイユですから、絵画のように絵具でぼかす技法は使えません。それにもかかわらずジョルジュ・デュプレは、その驚嘆すべき描写力により、ローマの広がりを空気遠近法によって見事に再現しています。そもそも本品の浮き彫りは浅く、最も突出した部分(女性の頭部と腕)と背景の高低差は1ミリメートルに足りません。ジョルジュ・デュプレは作品の物理的な三次元性に一切頼らずに、無限の奥行きを表現しているのです。
女性のヴェールは透き通る薄絹でできており、短くまとめた髪、形の良い耳、露わな両肩から背中を被っています。女性の柔和な表情、頬杖をついた右手の指や掌(てのひら)の立体感、すらりと伸ばした左腕の丸みなど、どの部分を取ってもたいへんよくできていて、あたかも生身の女性を眼前に見るかのようです。
メダイユのもう一方の面には、廃墟となったコロッセウムの内部が浮き彫りにされています。石材には蔦(ツタ)が取り付き、地面には雑草が生え、手前中央、崩れた石柱の上にはトカゲが留まっています。巨大なコロッセウム内部を、あたかも実際に覗き込んでいるような臨場感ですが、やはりこちらの面の浮き彫りもごく浅く、高低差は1ミリメートル未満です。メダイユの浮き彫り彫刻であることを見る者に忘れさせる圧倒的な臨場感は、真の天才の為せる業(わざ)です。画面の左下隅に、GとDを組み合わせたジョルジュ・デュプレのモノグラムがあります。コロッセウム内の地面には、次の言葉が彫られています。
Là, le lierre jaloux de l'immortalité, triomphe en possédant ce que l'homme
a quitté. そこにては、不死を欲する木蔦が、人の手放したるを得て勝ち誇る。
これはアルフォンス・ド・ラマルティーヌが 1823年に出した「ヌーヴェル・メディタシオン・ポエティーク」("Nouvelles Méditations poétiques" 「新瞑想詩集」)に収録されている作品、「ラ・リベルテ」("Méditation vingtième - La liberté, ou une nuit à Rome" 瞑想詩第二十 「自由」あるいは「ローマの夜」)の一節です。アルフォンス・ド・ラマルティーヌ (Alphonse Marie Louis de
Prat de Lamartine, 1790 - 1869) はフランスの文学者であると同時に政治家でもあった人で、ありのままの心情を韻文に綴るロマン主義の最初の詩人として知られています。
アルフォンス・ド・ラマルティーヌ 1820年頃
「自由」の内容は次の通りです。日本語は私(広川)が訳したものです。原詩の正確な訳出を主眼にしたため、韻文にはなっておりません。
Méditation vingtième La liberté, ou une nuit à Rome |
瞑想詩 第二十 「自由」(「羅馬の夜」) |
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Comme l'astre adouci de l'antique Elysée, Sur les murs dentelés du sacré Colysée, L'astre des nuits, perçant des nuages épars, Laisse dormir en paix ses longs et doux regards, Le rayon qui blanchit ses vastes flancs de pierre, En glissant à travers les pans fIottants du lierre, Dessine dans l'enceinte un lumineux sentier ; On dirait le tombeau d'un peuple tout entier, Où la mémoire, errante après des jours sans nombre, Dans la nuit du passé viendrait chercher une ombre, |
古(いにしへ)の楽園の優しき星のごと、 神聖なるコロツセオの壁崩れたるうへ、 ひとつの星夜々現れて、その光、雲のあひだを貫き、 遠く優しきその眼差しを、安らかに眠らしむ。 コロツセオが大いなる岩肌を仄(ほの)白く照らす光、 波打つ地面を滑(なめ)り行きて、 囲ひの中(うち)、明るき小道を描く。 かつてありし民に捧げて、人、もの語り、 数知れぬ歳月を経て薄れたる記憶にて、 過去の闇のなか、かの民の面影をこの地に探さむ。 |
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Ici, de voûte en voûte élevé dans les cieux, Le monument debout défie encor les yeux ; Le regard égaré dans ce dédale oblique, De degrés en degrés, de portique en portique, Parcourt en serpentant ce lugubre désert, Fuit, monte, redescend, se retrouve et se perd. |
この地にては、あまたの丸屋根天を衝くも、 コロツセオいまだに立ちて衆目を驚かす。 ここなる迷路は傾(かぶ)きて目を迷わす。 段から段、門から門へと、 人気(ひとけ)無きこの闇を、眼差しは縫ひて巡り、 逃げ、昇り、再び下り、現れ、消ゆ。 |
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Là, comme un front penché sous le poids des années, La ruine, abaissant ses voûtes inclinées, Tout à coup se déchire en immenses lambeaux, Pend comme un noir rocher sur l'abîme des eaux ; Ou des vastes hauteurs de son faîte superbe Descendant par degrés jusqu'au niveau de l'herbe, Comme un coteau qui meurt sous les fleurs du vallon, Vient mourir à nos pieds sur des lits de gazon. Sur les flancs décharnés de ces sombres collines, Des forêts dans les airs ont jeté leurs racines : |
そこにては、歳月の重みに垂るる額(ぬか)のごと、 毀(こぼ)てるコロツセオは傾(かぶ)く頭(かしら)を下げ、 にはかに崩れて大なるかけらとなり、 黒き岩のごと、深き淵に架かる。 あるひは、コロツセオは、見上ぐる頂の大いに高きより、 徐々に降(くだ)り来たりて草地の低きに及び、 力尽きて谷の花々に覆わるる丘のごと、 我らが足下に至りて草の床に斃(たお)る。 暗きこの丘の荒れたる表に 空(くう)に繁る木々、その根を張る。 |
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Là, le lierre jaloux de l'immortalité, Triomphe en possédant ce que l'homme a quitté ; Et pareil à l'oubli, sur ces murs qu'il enlace, Monte de siècle en siècle aux sommets qu'il efface. Le buis, l'if immobile, et l'arbre des tombeaux, Dressent en frissonnant leurs funèbres rameaux, Et l'humble giroflée, aux lambris suspendue, Attachant ses pieds d'or dans la pierre fendue, Et balançant dans l'air ses longs rameaux flétris, Comme un doux souvenir fleurit sur des débris. |
そこにては、不死を欲する木蔦が、 人の手放したるを得て勝ち誇る。 木蔦は忘却に似るなり。壁に巻き付き、 年追ふごとに高きに登り、頂に至りてこれを隠す。 黄楊(つげ)も、不動のあららぎも、墓の木も、 身を震はせつつ、陰鬱なる枝を伸ばす。 控へ目なるあらせいたうは漆喰より下がりて、 割れたる岩に金の足を着け、 その萎びたる長き枝を空中に揺らすは、 甘き想ひ出の廃墟に咲くがごとし。 |
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Aux sommets escarpés du fronton solitaire, L'aigle à la frise étroite a suspendu son aire : Au bruit sourd de mes pas, qui troublent son repos, Il jette un cri d'effroi, grossi par mille échos, S'élance dans le ciel, en redescend, s'arrête, Et d'un vol menaçant plane autour de ma tête. |
立ち残りたる孤壁あり。その険しき頂の 幅狭きフリイズに、鷲、巣を作りたり。 わが歩むかそけき音に、鷲は眠りを妨げられ、 恐れて鳴く声、幾重にも木霊(こだま)し大いなり。 舞い上がりたる鷲、再び降り来て宙に留まり、 頭(かうべ)のうへを巡り飛びて我を脅かす。 |
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Du creux des monuments, de l'ombre des arceaux, Sortent en gémissant de sinistres oiseaux : Ouvrant en vain dans l'ombre une ardente prunelle, L'aveugle amant des nuits bat les murs de son aile ; La colombe, inquiète à mes pas indiscrets, Descend, vole et s'abat de cyprès en cyprès, Et sur les bords brisés de quelque urne isolée, Se pose en soupirant comme une âme exilée. |
遺跡の窪みから、アーチの陰から、 禍(まが)の鳥ども騒ぎて飛び立つ。 燃ゆる瞳を闇に開けど、見ゆるもの無く、 夜を愛する盲目の鳥は、翼にて壁を叩く。 鳩は無遠慮なるわが歩みに心騒がせ、 枝から墜ち、飛び、幾本もの糸杉に体を打ちつけ、 そこここなる壺の砕けたる縁に 留まりて息づけるは、さまよへる魂のごとし。 |
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Les vents, en s'engouffrant sous ces vastes débris, En tirent des soupirs, des hurlements, des cris : On dirait qu'on entend le torrent des années Rouler sous ces arceaux ses vagues déchaînées, Renversant, emportant, minant de jours en jours Tout ce que les mortels ont bâti sur son cours. |
風は大いなる廃墟の下に吹き込みて 泣き、唸り、叫ぶが如き音を引き出す。 そはあたかも歳月の激流が 荒れ狂ふ波となりてアーチの下を流れ、 死すべき者どもの生きをる間に建てたるすべてを 覆(くつがへ)し、押し流し、掘り崩すが如し。 |
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Les nuages flottants dans un ciel clair et sombre, En passant sur l'enceinte y font courir leur ombre, Et tantôt, nous cachant le rayon qui nous luit, Couvrent le monument d'une profonde nuit, Tantôt, se déchirant sous un souffle rapide, Laissent sur le gazon tomber un jour livide, Qui, semblable à l'éclair, montre à l'oeil ébloui Ce fantôme debout du siècle évanoui ; |
暗く澄みたる空に棚引く雲、 うへを行き過ぐるとき、コロツセオに影を走らせ、 あるひは我らを照らす光を我らより隠して、 深き夜にてこの遺跡を蔽(おほ)ひ、 あるひは速き風に千切れて、 暗き光を草のうへに落とす。 そは雷光にも似て、くらみたる目に 消え去りし時代の幻をかく見さしむ。 |
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Dessine en serpentant ses formes mutilées, Les cintres verdoyants des arches écroulées, Ses larges fondements sous nos pas entrouverts, Et l'éternelle croix qui, surmontant le faîte, Incline comme un mât battu par la tempête. |
消え去りし時代の損なはれたる姿を、身をくねらせつつ描け、 崩れたるアーチの、緑に覆はれたる曲面よ。 消え去りし時代の雄大なる基(もとい)、我らが足下(そっか)に口を開け、 頂点にいただける永遠の十字架の、 嵐に打たるる帆柱のごとく傾くを描け。 |
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Rome ! te voilà donc ! Ô mère des Césars ! J'aime à fouler aux pieds tes monuments épars ; J'aime à sentir le temps, plus fort que ta mémoire, Effacer pas à pas les traces de ta gloire ! L'homme serait-il donc de ses oeuvres jaloux ? Nos monuments sont-ils plus immortels que nous ? Egaux devant le temps, non, ta ruine immense Nous console du moins de notre décadence. |
おお、汝、羅馬よ。皇帝たちの都よ。 汝が古(いにしへ)の建物を巡りてそこここを訪(おとな)ふは喜びなり。 時、汝が記憶よりも強く、汝が栄光を徐々に消し去る。そを感ずるは喜びなり。 人、自らの作る物を羨むべきか。 古の建物、我らよりも長らふるか。 否、時の前にありては、人も建物も同じなり。人、汝が大いなる廃墟を見て、 少なくとも己(おのれ)の衰へゆくを慰めらる。 |
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J'aime, j'aime à venir rêver sur ce tombeau, A l'heure où de la nuit le lugubre flambeau Comme l'oeil du passé, flottant sur des ruines, D'un pâle demi-deuil revêt tes sept collines, Et, d'un ciel toujours jeune éclaircissant l'azur, Fait briller les torrents sur les flancs de Tibur. Ma harpe, qu'en passant l'oiseau des nuits effleure, Sur tes propres débris te rappelle et te pleure, Et jette aux flots du Tibre un cri de liberté, Hélas ! par l'écho même à peine répété. |
この古き建物に来たりて思ひを巡らす、喜ばしきかな。 夜の刻限、不吉なる灯(ともしび)、 過ぎ去りし世の眼の如く廃墟に揺れ、 汝が七つの丘を、蒼白き半喪服で覆ふとき、 また、青の明るみを増しゆく永遠に若き空を映して チヴヲリの丘を流れ下る急流の輝くとき、 飛び去る夜鳥の触るるわが竪琴、 汝が昔日の名残のうへ、汝を呼びて、汝に嘆き、 チベルの波に自由の叫びを投げかけるも、 悲しきことよ、木霊(こだま)さへもほとんど返らず。 |
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"Liberté ! nom sacré, profané par cet âge, J'ai toujours dans mon coeur adoré ton image, Telle qu'aux jours d'Emile et de Léonidas, T'adorèrent jadis le Tibre et l'Eurotas ; Quand tes fils se levant contre la tyrannie, Tu teignais leurs drapeaux du sang de Virginie, Ou qu'à tes saintes lois glorieux d'obéir, Tes trois cents immortels s'embrassaient pour mourir ; |
「自由よ。この時代に穢(けが)されたる神聖なる名よ。 心の内にて、我、常に汝が姿を慕へり。 エミイルとレオニダスが時代に チベル河とエウロオタス川のかつて汝を慕ひたるやうに。 汝が子ら、独裁に対して立ちあがりしとき、 汝は彼らが旗を、ウヱルギニアが血で染めたり。 あるひは汝が栄光に輝く聖なる法に従ひて、 (ペロピダス率いるテエバイ軍の)不滅の戦士三百名は、まさに死に至れり。 |
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Telle enfin que d'Uri prenant ton vol sublime, Comme un rapide éclair qui court de cime en cime, Des rives du Léman aux rochers d'Appenzell, Volant avec la mort sur la flèche de Tell, Tu rassembles tes fils errants sur les montagnes, Et, semblable au torrent qui fond sur leurs campagnes Tu purges à jamais d'un peuple d'oppresseurs Ces champs où tu fondas ton règne sur les moeurs ! "Alors !... mais aujourd'hui, pardonne à mon silence ; Quand ton nom, profané par l'infâme licence, |
遂にはウリから、汝気高き自由、飛び来たりて、 峰から峰へ、レマン湖の岸からアツペンツエルへと走る 素早き稲妻の如くに、 ヴヰルヘルム・テルの矢の上に死を携へて飛びつつ、 山中にて散り散りになれる自由の子らを集む。 山々の原に消ゆる急流に似て、 汝自由は民を抑圧する者どもを永遠に追放す。 汝が美風の広まりたるこの地よ。」 「されば… しかるに今日我が黙するを赦せ。 汝自由の名は、忌むべき無軌道に汚され、 |
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Du Tage à l'Éridan épouvantant les rois, Fait crouler dans le sang les trônes et les Iris ; Détournant leurs regards de ce culte adultère, Tes purs adorateurs, étrangers sur la terre, Voyant dans ces excès ton saint nom se flétrir, Ne le prononcent plus... de peur de l'avilir. Il fallait t'invoquer, quand un tyran superbe Sous ses pieds teints de sang nous fouler comme l'herbe, |
タホ河からポオ河まで、諸国の王を慄(おのの)かせ、 諸国の王座と王室を、血の中に打ち倒す。 歪められたる熱狂から目を背(そむ)け、 汝自由を真に愛する者たちは、この世に在りて他の者どもと交(まじ)ることなく、 行き過ぎたるこれらの行為に、汝が神聖なる名、生気を失ふを見て、 汝が名をもはや口にせず… そは自由を貶(おとし)むること無きためなり。 力優れたる暴君が、血に染まりたる足下に 我らを草の如く踏み付くるときこそ、汝を呼び求むるべかりしかど。 |
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En pressant sur son coeur le poignard de Caton. Alors il était beau de confesser ton nom : La palme des martyrs couronnait tes victimes, Et jusqu'à leurs soupirs, tout leur était des crimes. L'univers cependant, prosterné devant lui, Adorait, ou tremblait !... L'univers, aujourd'hui, Au bruit des fers brisés en sursaut se réveille. |
(小)カトオの短剣を心臓に突き付くるとき、 汝が名を出すは麗(うるは)しきことなりき。 汝に殉じたる者ら、棕櫚が冠を戴けり。 彼らが希望に至るまで、そのすべてが罪とされたり。 しかるに世界は汝が名の前に額(ぬか)づき、 拝し、身を震はせり… 世は、いま、 剣の折れたるを聞きて、力を振り絞りて目覚むるなり。 |
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Mais, qu'entends-je ? et quels cris ont frappé mon oreille ? Esclaves et tyrans, opprimés, oppresseurs, Quand tes droits ont vaincu, s'offrent pour tes vengeurs ; Insultant sans péril la tyrannie absente, Ils poursuivent partout son ombre renaissante ; Et, de la vérité couvrant la faible voix, Quand le peuple est tyran, ils insultent aux rois. |
しかるに我、何をか聞く。如何なる叫び、わが耳を打つや。 奴婢も暴君も、抑圧さるる者も抑圧する者も、 汝自由が権利の蹂躙さるるとき、汝に敵する者が手に引き渡さるるなり。 汝が敵は安全なる所に身を置きつつ、在らざる独裁を攻撃し、 独裁が兆しの甦(よみがへ)るを諸方に探し求め、 真実がか細き声を蔽ひ隠す。 民、暴君とならば、王たちを攻撃するなり。 |
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Tu règnes cependant sur un siècle qui t'aime, Liberté ; tu n'as rien à craindre que toi-même. Sur la pente rapide où roule en paix ton char, Je vois mille Brutus... mais où donc est César ? " |
されど、自由よ、汝は、汝を愛する時代を統べ治む。 自由よ。汝の恐るべきは、汝自身より他に無し。 汝が戦車の障(さは)り無く進む険しき坂に、 数知れぬブルウツスあり… カエサルは何処(いずく)にや。」 |
ジョルジュ・デュプレのメダイユ「サリュ・オ・ソレイユ」と本品「メディタシオン」は、ともに1899年のサロン展で三等を獲得しましたが、引用されている詩は、いずれもラマルティーヌの作品であっても、社会への関わり方が大きく異なります。
「サリュ・オ・ソレイユ」に引用されたのは、「レ・メディタシオン・ポエティーク」("Les Méditations
poétiques", 1820) 所収の「ル・ヴァロン」です。「レ・メディタシオン・ポエティーク」は1815年から1820年までの42編を収めた最初期の作品集です。20歳代のラマルティーヌが詠んだ「ル・ヴァロン」は、社会的関心よりも、詩人個人の愛と悲しみ、宗教的心情を歌いあげています。
しかるに本品「メディタシオン」に引用された作品「自由」は、1823年の「ヌーヴェル・メディタシオン・ポエティーク」("Nouvelles Méditations poétiques") に収録された詩で、詩の前半で夜のコロッセウムを抒情的に描いた後、「自由」に呼びかける第五スタンザからは俄(にわ)かに政治的、社会的関心を表明しており、この作品が単なる抒情詩ではないこと、前半でローマの廃墟を謳ったのは、社会的、政治的理念である「自由」の本来あるべき崇高な姿を主張するためであったことが明らかになります。
王侯貴族の庇護を受けて、純粋文学の作品のみを産み出していたアンシアン・レジーム期の文学者たちとは異なり、19世紀のフランスに生きたロマン主義者ラマルティーヌは、社会的、政治的関心を、その作品において積極的に表明してゆきます。
1830年頃のフランスの文学者たちは、社会的、政治的主張を作品で発表することが多くなりましたが、その後のロマン主義文学運動はふたつの方向に分裂し、文学を社会や政治と分離して、いわば無用
(inutile) の純粋芸術を追求する作家たちと、社会や政治との関わりを持ち続け、一定の社会的使命を担おうとする作家たちに分かれます。ラマルティーヌやヴィクトル=ユゴー
(Victor Hugo, 1802 - 1885) は後者に属する人たちで、特にラマルティーヌの場合は、1830年、ルイ・フィリップの七月王政が始まった頃に政治の世界に入り、1833年には議員に選ばれて政治活動を本格化させることになります。1823年の「ヌーヴェル・メディタシオン・ポエティーク」に含まれる本作品「自由」は、ラマルティーヌが抱く社会的、政治的関心と、詩人の政治的立場を、最初期の作品「ル・ヴァロン」に比べていっそう鮮明に示しています。
このメダイユに刻まれた詩句には、以上のような時代背景があります。有産階級の代弁者であったラマルティーヌは、引用句を含む作品「自由」において、永遠の真理を見極めることなく、思想的深みの無いイデオロギーに陶酔する激越な共和主義者たち、皮相、低俗であるがゆえに一見わかりやすい偽りの思想に導かれて、過激な行動に走る浅薄な者たちを厳しく批判しているのです。「自由」が本来の崇高な地位から引き下ろされ、浅薄なイデオロギーに都合よく利用されている現状を見て、ラマルティーヌは嘆きます。詩人の嘆きは、第六スタンザにある次の句によく表れています。
「汝自由を真に愛する者たちは…汝が名をもはや口にせず。そは自由を貶(おとし)むること無きためなり。」(Tes purs adorateurs...
Ne le (i. e. ton saint nom) prononcent plus... de peur de l'avilir.)
(下・参考画像) Félix Philippoteaux, "Lamartine repoussant le drapeau rouge à l'Hôtel de Ville, le 25 février
1848", huile sur toile, 580 x 298 cm, Musée du Petit Palais, Paris
1848年の二月革命の際、パリ市役所で赤旗を拒絶するラマルティーヌ
ただし社会思想史的な分析を抜きにしても、ラマルティーヌの作品「自由」は、悠久の時間の中に置かれて明らかになる人間の営為の空しさを謳い、万人の心を打ちます。人類史上最大の強勢を誇ったローマ帝国の中心、フォルム・ローマーヌムの大建造物群は、いま見る影も無く朽ち果ててトカゲの棲み家となり、蔦だけが青々と勝ち誇っています。
人間の営為の空しさを象徴する遺跡群を眺める女性は、古代の衣装をまといながらも、永遠の若さを保っています。女性は手に紙を持っていますが、ペンは持っていませんので、「ポエジー」(poésie フランス語の女性名詞「詩」「詩想」)を擬人化した表現と考えるよりも、時代によって変わることのない永遠の理念、「リベルテ」(liberté フランス語の女性名詞「自由」)の寓意と考えるほうが適切でしょう。だとすると、女性が手に持つ巻き紙は、詩を書き付けたものではなく、「自由」という崇高な理念、あるいは自由の理念を尊重して布告された法律や宣言を象徴していると考えられます。
窓外の景色から判断すると、この女性、「自由」の女神は、フォルム・ローマーヌムの北西端、古代のタブラリウム(TABULARIUM 文書庫)の上に建てられたパラッツォ・セナトリオ(il
Palazzo Senatorio イタリア語で「元老の宮殿」)の窓辺にいるようです。パラッツォ・セナトリオは、ローマの七丘で最も高いカピトーリウムの丘に建ち、ここからフォルム・ローマーヌムを一望できる建物です。現在ではローマ市役所の一部として使用されていますが、1143年から1870年までは元老院の議場でした。したがって、「自由」の寓意であるこの女性が、パラッツォ・セナトリオ、すなわち国家の中枢である元老院から、フォルム・ローマーヌムを見渡す構図には、「自由」こそが繁栄する国家の理念であるべきだ、という深い意味が込められています。
「自由」の女神がパラッツォ・セナトリオにあってローマを支配する、というような字句はラマルティーヌの原詩には見られず、メダイユのこの面では、彫刻家の独創による優れた図像表現が為されていることがわかります。詩人ラマルティーヌが謳ったのは、目に見える自然の美しさや遺跡の美ではなくて、永遠の価値でした。ラマルティーヌの心情をよく理解したメダイユ彫刻家ジョルジュ・デュプレは、「サリュ・オ・ソレイユ」においても、本品「自由」においても、眼前に見える地上の光景を完璧な浮き彫り技術で再現しつつ、可視的事物を超越した「永遠なるもの」を主要テーマとして明示することに、見事に成功しています。すなわちジョルジュ・デュプレは、「サリュ・オ・ソレイユ」において永遠の生命と愛を、「自由」において永遠の自由を、それぞれメダイユ彫刻のうちに形象化しているのです。
(下) ジョルジュ・デュプレ 「サリュ・オ・ソレイユ」(1899/1900年) 64.3 x 50.8 mm ブロンズに銀めっき 当店の商品です。
ジョルジュ・デュプレは、ラマルティーヌが亡くなったまさにその年に生まれています。もしもふたりの芸術家が同時代に生きて、互いに交流していれば、どれほどの傑作が生まれたことであろうかと、夢想する誘惑に駆られます。しかし永遠の芸術の世界に住まう者たちにとって、地上に生きた時代が異なっても、おそらくそれは大した問題ではないのでしょう。ラマルティーヌの詩に基づいてジョルジュ・デュプレが産み出した素晴らしい作品群は、真の芸術の永遠性と、時間を超越した芸術家同士の交感の、雄弁なる証左となっています。
メダイユの縁には、ブロンズ製を表すコルヌ・コーピアエ(CORNU COPIAE 豊穣の角)、及び「ブロンズ」(BRONZE) の刻印があります。コルヌ・コーピアエは、1880年から1929年までの間にモネ・ド・パリ(La
Monnaie de Paris パリ造幣局)で鋳造されたメダイユに刻印されるプリヴィ・マーク(ミント・マークの一種)です。
このメダイユは百年以上前のフランスで制作された真正のアンティーク品ですが、特筆すべき瑕疵は無く、きわめて良好なコンディションです。ご希望により、別料金にてメダイユを額装いたします。額装料金は使用する額によって異なります。